Vente

La fondation a renoncé à gérer la vente du mimosa. Malgré cela, de nombreux enfants et jeunes vaudois ont besoin du soutien de la Fondation Jeunesse de la SPV.

C’est pourquoi, nous organisons une vente virtuelle de bouquet de mimosa à 15.-. Afin de soutenir les enfants de familles vaudoises en difficulté, il suffit de scanner le code ci-dessous avec Twint !

Merci d’avance pour votre solidarité !

Rapport d’activité 2020

Vente 2020

Merci aux différentes classes qui se sont impliquées cette année. Les élèves ont vendu du mimosa pour 5629 francs.

Le conseil de fondation remercie particulièrement toutes ces classes fidèles et leurs enseignant·e·s qui ont pris le temps de participer activement à notre action. Les classes peuvent garder 10% du résultat de leur vente, et c’est toujours appréciable. Ceci devrait encourager les enseignant·e·s qui hésitent.

Aides

En 2019, la fondation a pu honorer 45 demandes d’aides individuelles (entre 50 et 300 francs chacune), cela fait 20 de moins que l’année précédente. Nous avons en effet moins de demandes pour les camps, mais nous aidons beaucoup dans d’autres domaines. Nous continuons à soutenir le Théâtre des Lutins, notre coup de cœur.

N’hésitez pas à transmettre notre formulaire si vous avez des élèves dans le besoin, de soutien pour payer des vélos, du sport, et autres.
Les infirmiers·ières scolaires devraient avoir notre formulaire d’aide. Il est également téléchargeable depuis notre site internet.

Actualité, conseil de fondation

Notre conseil de fondation se compose de Marie, Caroline, Yves et Agnès. Nous nous voyons uniquement s’il y a des demandes, nous avons également optimisé les comptes pour payer moins de frais. Et nous allons essayer de revoir nos objectifs suite à la diminution des vendeurs. Si vous avez des idées à nous proposer elles sont les bienvenues.

Un peu d’histoire…

Pendant la guerre 1939-1945, la Croix-Rouge suisse organise l’accueil et le placement en Suisse de dizaines de milliers d’enfants français, dont plus de 3000 provenant de la région de Cannes. Une première vente timide de Mimosa débute en hiver 1948 à Genève. Dès 1949-1950, la Croix-Rouge genevoise et la Chaîne du Bonheur soutiennent l’idée d’une vente officielle de mimosa. Depuis 1950, l’envoi et la vente du mimosa sont reconduits chaque année sans interruption pour devenir le « Mimosa du Bonheur ».

Originaire d’Australie, le mimosa fut importé dans le sud-est de la France vers 1850, pour décorer les jardins des somptueuses résidences des gens aisés sur la Côte d’Azur. Son cycle de floraison originel de l’hémisphère austral d’octobre à mars, a été cependant conservé. Entre 1900 et 1914, les premières cultures de mimosa à caractère commercial furent organisées par des professionnels appelés « les mimosistes ». La récolte des fleurs se fait à Cannes-Mandelieu, dans le massif du Tanneron sur la « colline du mimosa ». Le mimosa représente une fleur jaune délicate annonçant la fin de l’hiver. Pour les Suisses, il évoque le Midi, donc le soleil.

L’action Mimosa du Bonheur couvre la Suisse romande et une partie proche de la Suisse alémanique. Les partenaires diffèrent d’un canton à l’autre; ils rassemblent des associations Croix-Rouge, des institutions caritatives et des sociétés pédagogiques cantonales. Ensemble, ils forment l’Association Suisse du Mimosa du Bonheur (ASMB).

La vente du Mimosa du Bonheur est invariablement fixée aux derniers vendredi et samedi du mois de janvier. L’ensemble des partenaires suisses gère la vente sur le terrain dans plus de 400 localités et 1000 points de vente.